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ActuToro

– Triomphes de Pablo Hermoso de Mendoza, Andy Cartagena et Léa Vicens à Méjanes

– Lea Vicens remporte le très convoité trophée du Rejon d’Or

Lea Vicens a triomphé parmi les grands. L’amazone française remporte le très convoité Rejon d’Or de Méjanes au terme d’un après-midi remarquable. Cette édition fut dédiée au rejoneo français, et Lea n’a pas souhaité laisser échapper cette opportunité d’y inscrire son nom au déjà très riche palmarès.

Lea Vicens coupa les deux oreilles du sixième exemplaire, un toro des frères Sampedro avec un excès de poids ce qui le fit s’arrêter rapidement. Cependant cela n’empêcha en rien l’amazone de mener à terme une très notable faena. Dès la réception avec «Bach», puis à dos de «Gacela» et «Diluvio» elle enchanta le puvlic venu en masse. Lea s’exposa beaucoup pour parvenir jusqu’à la tête de l’animal afin d’achever une oeuvre qu’elle avait brindé à Michèle Ricard.

Face autroisième exemplaire, marqué du fer de Fermin Bohorquez, la nîmoise n’avait pas souhaité rester en retrait de ses compagnons qui venaient de couper deux oreilles chacun. Le Bohorquez chargeait avec classe ce qui permit à Lea de plaire au public surtout avec sa star «Betico» mais également «Bazuka» et «Jazmin», ce dernier dansant devant la tête de son opposant. 

Andy Cartagena coupa les deux pavillons du deuxième de l’après-midi, un berrendo manso qui chercha sans cesse le refuge aux planches. Andy parvint à l’intéresser au cours de sa faena qui alla crescendo. Dans la dernière partie de la faena monté sur «Pintas», Andy réussi à faire rompre l’animal. A l’issue d’un rejon de mort fulminant les deux pavillons tombèrent.

Le combat face au cinquième fut très spectaculaire : il fit le tour de la piste avec l’animal collé à la croupe du cheval, il cloua des banderilles d’un bout à l’autre de la piste. L’intensité monta à son apogée lorsqu’ «Humano» fit son apparition en piste l traversant debout sur ses postérieurs. «Mediterraneo» vint clore l’oeuvre. Pinchazo et rejon de mort. Oreille.

Pablo Hermoso de Mendoza mit la fibre qu’il manquait au toro d’ouverture. Le Sampedro manquait de race et la vuelta de campana qu’il subit en début de faena n’arrangea pas les choses. Avec «Berlin», «Beluga» et «Pirata», Pablo fit étalage de sa maestria enthousiasmant le public. L’épée fut efficace et libéra les deux oreilles.

Tandis qu’il tenait à nouveau les deux trophées dans la main face au quatrième, le rejon de mort en décida autrement laissant le tout en ovation. Face à cet animal qui possédait un bon galop, le navarrais fit une nouvelle exhibition de son talent notamment avec ses fameuses «hermosinas» avec «Disparate» puis avec «Donatelli» et «Pirata».

 

«Lea Vicens, cortó cuatro orejas en una tarde rotunda»

Cultoro

«Con el noble tercero haría Lea el pleno de los actuantes, porque también le aprovechó la buena condición para cortarle las dos orejas. Una actuación limpia, bella y elegante que alcanzó mucha conexión cuando ‘Jazmín’ bailó en la cara del toro antes de clavar. Un rejonazo contundente rubricó el importante triunfo.

La que consiguió cortar todas las orejas en juego fue Lea Vicens, que expuso mucho en su faena al sexto. Supo encandilar a los tendidos con ‘Bach’ y ‘Gacela’ y no falló con los aceros, por lo que recibió el merecido premio que andaba buscando. Gran actuación de Lea que continúa imparable».

Mundotoro

«No había querido quedarse por detrás de sus compañeros y cortó dos orejas del tercero. Llevaba el hierro de Fermín Bohórquez y mostró mucha clase en sus embestidas, circunstancia que aprovechó la amazona para gustar al público, especialmente con ‘Bético’, ‘Bazuka’ y ‘Jazmín’. Con este último ‘bailó’ en la cara del toro y puso la plaza en pie.

Lea Vicens cortó las dos orejas del sexto de la tarde. Fue un toro de Hermanos Sampedro con un evidente exceso de kilos, lo que hizo que se parase pronto. Eso no impidió que la amazona llevase a cabo una faena notable, en la que encantó al público con ‘Bach’, ‘Gacela’ y ‘Diluvio’. Expuso mucho Lea, llegó a la cara y logró redondear una faena que había brindado a Michèle Ricard».

Fotos: Aurèlien Christin